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Mal à la France

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Bienvenue

Pour que cessent enfin les actes de cruauté, les agonies, voire les boucheries, sur les plages !

 

Définition : « Sibylline », du latin sibyllinus. Littérature : « dont le sens est caché ». V. énigmatique, mystérieux, obscur… Ouh, c’est mal parti ! « …caché, comme celui des oracles ». Ah, enfin, une référence à l’origine grecque du mot est mentionnée. Le nom de l’association puise effectivement sa source, non dans les oracles mais dans les sibylles, notamment celle de Delphes (du grec delphys = utérus, matrice, homonyme de delphis, esprit de la mer), etc, etc, etc… Et n’oubliez pas Apollon…

 

Concrètement :

Sibylline, fondée par des bénévoles français et espagnols, s’est organisée en association pendant la marée noire du Prestige, en 2003. A l’étranger, elle intervient régulièrement sur la faune marine en difficulté. En France, elle n’a d’autre ambition que la création d’un centre de médecine, recherche (clinique et fondamentale) et pédagogie pour les animaux en danger ou qui s’échouent sur nos plages (oiseaux, cétacés : baleines et dauphins, tortues, requins…). Alors que l’on s’indigne des massacres de cétacés dans d’autres pays, on trouve parfaitement normal de laisser agoniser les dauphins sur nos propres côtes. Côté dauphins, environ 1000 échouages/an avec 1/5 des effectifs dans les Landes (où nous sommes basés) et les Pyrénées Atlantiques. Le Golfe de Gascogne : 25 % des espèces de baleines et dauphins y sont représentés, ce qui en fait l’une des premières concentrations mondiale d’espèces de cétacés ; la France : deuxième domaine maritime planétaire, plus de 5500 km de côtes métropolitaines et aucune infrastructure pour prendre des cétacés en soins. Côté oiseaux, nul besoin de l’arrivée d’une marée noire, ils paient le lourd tribut des dégazages. Et dans tous les cas, des cadavres qui ne sont que très rarement étudiés. Forts du soutien de centres de recherche français et étrangers, nous tentons de faire accepter notre projet qui n’a rien de visionnaire, si l’on connaît ce qui se passe chez nos proches voisins.

L’ONG s’adresse à toutes les personnes qui se sentent concernées par la disparition de la biodiversité marine et la souffrance animale. Elle s’assure les compétences professionnelles adéquates (vétérinaires, biologistes, traducteurs, architectes, infographistes, métiers de l’audiovisuel, avocats…), collabore à l’international et est toujours ravie d’accueillir de nouveaux bénévoles.

Après ce tour d’horizon rapide, nous vous invitons à mieux nous connaître en visitant notre site et à nous soutenir dans nos actions.

 

On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités…’ Gandhi

L’actu océanique